Comme un paysage radical, cette exposition se veut une expérience sensible de l’eau et des matières brutes.
L’installation monumentale est complétée par une série d’oeuvres réalisées par les artistes ayant participé à Matza en 2017. Les œuvres synthétisent différents regards sur des territoires extrêmes, sur la raréfaction de l’eau ou sur le potentiel de la gestion collective des ressources.